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Des grèves, j’en rêve pas

Au-delà des sujets, qui certains se comprennent et soulèvent, toutes ces grèves à répétition finissent par me rendre chèvre, bêêêêêêê🐐. Comme dans un mauvais rêve qui s’achève, voici encore revenu une journée de marche ou crève, je rêve❗

 

Il semble qu’à certains, jamais de trêve. Et pour couronner le tout, ce sont toujours les mêmes qui tirent la fève. Celles et ceux qui le matin se lèvent pour payer ceux-là mêmes qui les prélèvent et qui nous expliquent, de la manière d’un bon élève, que c’est pour notre bien, je rêve❗

 

Nous avons dû croquer le fruit d’Adam et Eve pour se faire ponctionner aussi régulièrement notre sève, je rêve❗

 

Plusieurs fois par an, quelques soient les motifs, il y a malaise et la seule issue, c’est prise d’otages via la sacrosainte grève, je rêve❗

 

Comme vous l’avez compris, et pour la faire brève, oui franchement, elle me pèse toutes ces grèves, autant que les brèves de comptoirs qui les soupèsent. Ça coûte un de ces pèzes (*extrait en bas ⤵) mon bon Blaise, et ça pèse lourd dans les finances des français et des françaises. Mais pas de malaise, mon bon Blaise, ce sont nos jeunes qui règleront la mayonnaise🤫, ne t’en déplaise❗ Et si, ils pensaient plus à notre jeunesse plutôt qu’à leur vieillesse❓

 

Peut-t-on un jour espérer une sorte de trêve avant tout démarrage d’une grève❓ C’est certainement un pieux rêve mièvre que d’oser imaginer une telle genèse de celles et ceux qui sont aux commandes du manège❓

 

En attendant la relève, je rêve d’un jour sans grève où je pourrais aller et venir travailler normalement, à l’aise, pour financer les futures grèves😉, j’en rêve…🤣🏴‍☠

 

*Le rapport Perruchot avait démontré que si, en 2009, les entreprises de plus de dix salariés avaient en moyenne déclaré 136 jours de grève pour 1.000 salariés, la fourchette allait de 11 jours de grève en moyenne dans la construction, 13 dans le commerce mais jusqu’à 597 dans le secteur « transports et entreposage » qui inclut notamment La Poste, la SNCF et la RATP. Un chiffre à garder en mémoire quand l’on sait que le coût d’un seul jour de grève dans les transports publics est de 300 à 400 millions d’euros selon Frédéric Gonand, professeur d’économie à l’université Paris-Dauphine…
(Extrait d’un article du 31/03/2016 de la Fondation IFRAP)

 

 

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